Articles par balises :Equipements publics

Les acquis de l’alliance modernisatrice de l’identité ethnique et de la rationalité économique au RHDP.

Après la dérive identitaire des années 1995 à 2010 qui rompit l’alliance modernisatrice de l’identité ethnique et de rationalité économique (une alliance vitale dont dépend le développement endogène) le Président de la République Alassane Ouattara et le Vice-président Daniel Kablan Dunkan, à l'instar du père de la Nation Félix Houphouët-Boigny, scellent à nouveau, dans une politique pragmatique d’action rationnelle, cette alliance dans le cadre de l'économie globalisée. L'objectif du RHDP est de mener plus loin, l'œuvre de construction nationale en faisant aboutir le programme d'industrialisation économique sous le nouveau ivoirien régime de démocratie pluraliste.

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Éditorial. L’unité de la diversité ethnique et confessionnelle, identité culturelle de la Côte d’Ivoire.

L'identité culturelle de la Côte d'Ivoire est la diversité d'une société multi-ethnique et multi-confessionnelle moderne ouverte à l'Altérité, aux échanges et aux changements.

L'identité culturelle de la Côte d' Ivoire n'est pas une identité communautaire constituée par les coutumes ineffables d'une ethnie autochtone protégeant son âme contre le changement et l'Altérité.

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ROUTES, PONTS ET ÉQUIPEMENTS PUBLICS, VAISSEAUX SANGUINS ET ORGANES VITAUX : UNE ANALOGIE ÉCLAIRANTE.

Le corps social comme ensemble organisé est l’analogue politique d’un organisme vivant, par exemple d’un corps humain.

Entre les vaisseaux sanguins, les articulations et les organes vitaux du corps humain d'une part et les routes, les ponts, les équipements publics et les institutions du corps social d'autre part, existe UNE ANALOGIE ÉCLAIRANTE.

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Moderniser nos sociétés africaines ou restaurer les traditions du passé précolonial face à la mondialisation ?

Quelle solution politique et économique faut-il adopter en Afrique pour résoudre ce problème régulièrement ressassé : une Afrique riche en ressources naturelles dont les terres seraient, selon certains, pillées par les multinationales étrangères avec la complicité des États et dont les populations seraient en raison de ce fait, maintenues dans la pauvreté de masse, dans la précarité de l’existence et dans la dépendance depuis la colonisation ?

Située sur l’axe du temps, cette problématique ne peut être résolue qu’à travers un choix entre deux alternatives inconciliables : la voie nationaliste de la défense identitaire, autrement dit l’orientation vers le passé, ou la voie progressiste de l’orientation vers l’avenir:  l’acceptation des transformations socio-économiques,  la gestion politique du changement social.

Il n’existe pas de troisième voie. Il est en effet impossible de concilier le passé et l’avenir, l’identité et le changement.

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La gouvernance responsable en Côte d’Ivoire : les cas d’école du RHDP et du FPI. (1ère partie)

En démocratie, le gouvernement et l'opposition sont soumis à des cahiers de charges réciproques envers la société civile. Leur légitimité dépend de leur capacité à les remplir. En vertu du principe de limitation du pouvoir par les droits fondamentaux des personnes, le Gouvernement est tenu de répondre intégralement de la société sans se défausser sur des tiers. Il est soumis au principe démocratique de responsabilité politique. L’opposition est, sur le même registre, tenu de redresser le gouvernement sur les chapitres respectifs du respect des droits et du service de l’intérêt général et du Bien commun.

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Reconstruction des infrastructures en Côte d’Ivoire et réconciliation nationale : quelle relation?

En Afrique et partout dans le monde, les séparatismes, les sécessions, les divisions sociales et les guerres civiles proviennent de la déficience de l’intégration nationale du territoire. Ils naissent de l’exclusion de populations entières par des Etats qui, bien souvent, comme en Côte d’Ivoire dans les années 1995 jusqu’en 2010, constitutionalisent cette ségrégation. Ces problèmes surgissent de ce que l’État central abandonne et déserte des pans du territoire laissant les populations dans la déréliction et dans une précarité des conditions d’existence. Cet abandon se constate par la faiblesse de la redistribution en termes d’infrastructures et d’équipements publics.

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