Articles par catégoriesPolitique

Le RHDP : un agent de modernisation, de développement endogène et de démocratisation. 2ième partie.

Du PDCI-RDA de Félix Houphouët-Boigny au RHDP d’Alassane Ouattara, la continuité d’une politique progressiste de modernisation et de développement endogène.

Pour que la pluralité des collectivités ethniques d'un territoire puisse se transformer en nation afin de l'affranchir de la dépendance, UNE ALLIANCE STRUCTURELLE DOIT ÊTRE ÉTABLIE À LA BASE DE LA SOCIÉTÉ ENTRE LES CULTURES LOCALES DU TERRITOIRE ET LA RATIONALITÉ MODERNE, ENTRE LA TRADITION ET LA MODERNITÉ.

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Le RHDP : UN AGENT DE MODERNISATION ET DE DÉVELOPPEMENT EN CÔTE D’IVOIRE. (1ère partie).

La conquête de l'indépendance réelle comme processus de modernisation dans les États postcoloniaux africains.

La problématique de la conquête de l'Indépendance réelle dans les États multi-ethniques post-coloniaux d'Afrique, après la conquête de l'indépendance politique, ne fut rien d'autre qu'une problématique de transformation des structures et des rapports de production, des formes sociales et politiques qu'induisent ces structures et ces rapports.

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Éditorial. La problématique de la citoyenneté comme problématique de médiation dans les États multiethniques africains: Le cas d’école ivoirien.

La ville déterritorialise l'individu en le rendant indépendant du sol sur lequel il est assigné. Le village territorialise le sujet en le rendant dépendant du sol dans lequel il finit par être assigné. La culture de la ville comme lieu de rencontre des altérités est une culture démocratique. ( Cf : « Le ministère de la ville : un symbole fort du gouvernement Amadou Gon II. Cedea.net.Juillet 2018)

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L’option d’insurrection chez les ethno-populistes ivoiriens : les motivations profondes d’un projet irrationnel et anti-démocratique.

« Cette CEI va brûler la Côte d’Ivoire » clament en chœur, en diverses déclinaisons,  le PDCI-Bédié, le RACI-GPS.Soro, le FPI-Gbagbo et les micros partis qui en sont les satellites.

En son discours prononcé lors de sa visite dans le Hambol, le Président de la République a cependant averti que le débat sur le sujet est clos et que « cette CEI qui est d’ailleurs plus équilibrée que la CEI qui a organisé les élections de 2015, organisera les élections de 2020 ».

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Éditorial: l’anticolonialisme postcolonial de pacotille: une contradiction dans les termes et un poison dissolvant.

L'anticolonialisme postcolonial est contradictoire dans les termes comme le sont le panafricanisme xénophobe et le révolutionnarisme ethniciste forcément réactionnaire.

Sous ces camouflages, s'abrite une certaine intelligentsia postcoloniale africaine, prévaricatrice et jouisseuse en quête de pouvoir, de domination, de privilèges multiformes et porteuse, à cet effet, de régimes liberticides et prédateurs. Soit dit en passant Nathalie Yamb l'idole et l'égérie soi-disant "anticolonialiste" d'un certain nombre d'alphabétisés ivoiriens, atteints de cécité spirituelle et en crise de repères a choisi comme ses paires, friands des délices des capitales occidentales, la Suisse de la dolce Vitæ pour destination au lieu de son pays natal le Cameroun.

Cette intelligentsia qui, durant l'époque de la guerre froide, détenait le monopole de la parole publique à la fois comme propagandiste organique des dictatures militaires soi-disant de gauche, et comme opposant des anciens régimes de parti unique, est une force de régression. C'est un fossile historique.

Cette intelligentsia-fossile soi-disant de gauche s'est reformée professionnellement en qualité de chef de parti ou de fraction dans les jeunes démocraties pluralistes africaines où elle a produit des rejetons et dont elle constitue un poison dissolvant et désintégrant. Elle est l’architecte et la maîtresse d'œuvre de l'ethno-populisme réactionnaire.

En étiage politique et en voie de marginalisation sur l'ensemble du continent africain depuis la fin de la guerre froide et la libération des sources d'information, ses diatribes anti-colonialistes obsolètes, sa propagande débilitante qui heurte le sens commun ne font plus recette car ses confusions et contradictions éclatent partout au grand jour.

 

Général Michel Gueu vs général Dogbo Blé Bruno : Honneur contre déshonneur…. Article publié le: 12 Octobre 2012

Article publié le: 12 Octobre 2012 – Auteur: Dr Alexis Dieth. – Source: Lebanco.net

Justice vient d'être rendue. Et l'exemplarité de la juste condamnation du pilier sécuritaire du régime Gbagbo qui a conclu sa carrière par l'assassinat crapuleux et symbolique d'un autre officier supérieur de l'armée recentre l'attention sur la problématique de la restauration de l'esprit républicain au sein de l'armée ivoirienne. Car en dépit de la criminalisation de l'armée par le précédent régime, l'histoire montre, à travers les choix antinomiques des deux chefs des gardes républicaines les années 2000 à 2011, que la servilité et le déshonneur ne triomphèrent jamais de l'esprit républicain et de l'honneur militaire dans le haut commandement. Au terme du verdict de la justice, il n'est pas inutile de jeter brièvement un regard rétrospectif sur les moments de cette bataille durant les années de sang et feu qui s'échelonnèrent de 1999 à 2011 pour justifier l'espoir du peuple ivoirien en son armée.

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Présidentielle 2020 en Côte d’Ivoire : la question entêtante de la confrontation programmatique.

En démocratie l'opposition politique comme contre-pouvoir repose sur une expertise et une fondation rationnelle des dénonciations et des interpellations du pouvoir. Il n'est pas permis à l'opposition d'interpeller et de dénoncer le pouvoir sur le mode des humeurs du trottoir.

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Affaire ‘’la Côte d’Ivoire surendettée’’ : Quand Bédié étale sa mauvaise foi.

Ambroise Tiétié

Journaliste professionnel

Au Rassemblement (Quotidien Ivoirien)

Dans l’une de ses déclarations controversées, le président du PDCI-RDA, Henri Konan Bédié, a cru devoir revenir sur l’endettement de la Côte d’Ivoire dont il a déploré le côté exponentiel soi-disant. Avec une dose de mauvaise foi qui en dit long sur ses ressentiments à l’endroit du RHDP et du chef de l’Etat Alassane Ouattara contre qui il ne décolère visiblement pas.

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Éditorial. Le Grand meeting des femmes du RHDP ce Samedi 23 Novembre 2019 : UN SYMBOLE, un appel à la Vie et au Respect de l’Altérité.

A L’image de la Femme symbole du Foyer, de la Vie, et de l’Hospitalité , Le Grand meeting des Femmes du RHDP ce 23 Novembre 2019 symbolise et célèbre le retour pérenne et la protection d’une Côte d’Ivoire Accueillante, Hospitalière, Fraternelle, génératrice de Vie, Matrice de la coexistence des altérités, respectueuse de la Féminité qui en est le symbole.

« Depuis l’aube des temps, l’humain sait que la femme est source de vie et dépositaire de cette intériorité salvatrice dont témoigne le respect culturel de son intimité.

La culture dans son évolution a tôt fait de rétablir dans ses droits le respect de la femme qu’une masculinité belliqueuse et dominatrice, mais en réalité craintive et peureuse, tente toujours de soumettre. Comme Emmanuel  Levinas l’a souligné dans Totalité et Infini, la femme est l’altérité salvatrice, la figure à travers laquelle s’accomplit l’accueil hospitalier par excellence qui permet à l’homme de demeurer dans l’existence et de n’y être pas jeté comme une pierre qu’on lance derrière soi. L’accueil de la demeure est symbolisé par la femme.
Et c’est dans la relation à l’altérité féminine que Martin Buber voit par excellence la relation interhumaine. « Les allées et venues silencieuses de l’être féminin qui fait résonner de ses pas les épaisseurs secrètes de l’être » donnent corps à la demeure, terre d’asile, lieu d’accueil où l’humain peut venir à soi et s’y recueillir afin de pouvoir se représenter la nature et la travailler pour en faire un monde.

C’est cette intériorité sacrée universelle de la femme, célébrée dans le rite traditionnel ivoirien de l’Adjanou, la danse sacrée des femmes, que la soldatesque du régime ethno-populiste du FPI de Laurent Gbagbo avait violée dans le massacre des femmes d’Abobo le 03 Mars 2011». (cf. "Le massacre des femmes et la dictature de Laurent Gbagbo". Décryptage par Dr Alexis Dieth. Connection Ivoirienne, 07 Mars 2011).

 

 

In memoriam: le massacre des femmes d’Abobo ou le symbole d’infamie de la dictature de Gbagbo.

A l’occasion du Grand Meeting des Femmes du RHDP ce 23-Novembre 2019 ,une réédition mémorielle de ce texte précédemment publié le 07 Mars 2011 après le Massacre des femmes d’Abobo par la soldatesque du FPI de Laurent Gbagbo.

Ils ont osé faire ce qu’au pire moment de la colonisation étrangère française les colons français n’avaient pas osé faire : tirer à la mitrailleuse lourde de calibre 12.7 sur des femmes ivoiriennes, des manifestantes pacifiques rassemblées pour crier leur haine de la guerre et réclamer l’arrêt des violences. Après ce crime absolu, ils n’ont pas l’once de courage qui devrait leur permettre d’assumer l’ignominie insondable de leur forfait. Ils se répandent en dénégations et concessions en rétablissant l’eau et l’électricité dans le nord pour obtenir une clémence du Juge.

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Le pont Henri Konan Bédié : un symbole piétiné.

Il faut relire le texte du Professeur Kouadio Augustin Dibi publié par cedea le 21 Janvier 2015  «  L’appel de Daoukro et sa résonance symbolique dans le pont Henri Konan Bédié », pour saisir la signification symbolique de la dénomination du « pont Henri Konan Bédié » et prendre la mesure des conséquences catastrophiques du revirement identitaire du chef du PDCI, du point de vue des symboles.

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Editorial. Présidentielle 2020 : le RHDP face au défi de l’unité.

Le RHDP est à la croisée des chemins face à une opposition désunie et divisée par le choc des égocentrismes et par le conflit irréconciliable des intérêts particuliers d’appareils motivés par l’idolâtrie du pouvoir. Le RHDP qui a consolidé par décantation sa définition  comme front républicain, depuis la dissidence opportuniste d’Henri Konan Bédié et de Soro Guillaume, en est le contraire radical. Cette plate-forme désunie rêve naturellement de la désunion de son adversaire. Elle  entend  faire du RHDP  son alter ego afin de rétablir à son avantage les rapports de force dans la compétition électorale.

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Le racisme et la xénophobie électoraliste décomplexés des partis et fractions ethnicistes de l’opposition ivoirienne: une inédite et honteuse exception dans la sous-région.

Le racisme et la xénophobie décomplexés à tonalité esclavagiste des partis et fractions ethnicistes et autochtonistes de l'opposition ivoirienne est une exception honteuse et inédite  dans la Sous-région. Ce type de discours n’existe nulle part ailleurs dans les classes politiques des jeunes démocraties pluralistes du continent. A l'exception du parti raciste de l'apartheid en Afrique du sud, il n’existait pas non plus dans les régimes de parti unique.

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Éditorial. L’unité de la diversité ethnique et confessionnelle, identité culturelle de la Côte d’Ivoire.

L'identité culturelle de la Côte d'Ivoire est la diversité d'une société multi-ethnique et multi-confessionnelle moderne ouverte à l'Altérité, aux échanges et aux changements.

L'identité culturelle de la Côte d' Ivoire n'est pas une identité communautaire constituée par les coutumes ineffables d'une ethnie autochtone protégeant son âme contre le changement et l'Altérité.

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Éditorial. L’unité de la diversité ethnique et confessionnelle, identité culturelle de la Côte d’Ivoire.

L'identité culturelle de la Côte d'Ivoire est la diversité d'une société multi-ethnique moderne ouverte à l'Altérité, aux échanges et aux changements.

L'identité culturelle de la Côte d'Ivoire n'est pas une identité communautaire constituée par les coutumes ineffables d'une ethnie autochtone protégeant son âme contre le changement et l'Altérité.

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